Empire de Sainte Russlavie
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Légation du Daearuil
Nombre de messages : 44
Date d'inscription : 04/11/2010

Rue st-Pavel Empty Rue st-Pavel

Mer 24 Nov 2010 - 0:00
Il y avait une bonne douzaine de types derrière moi, tous en uniforme, ça frisait le n'importe quoi, je n'en avais pas encore, j'osais espérer que dans ce régiment ils lavent souvent leurs linges.

« J'aime autant vous prévenir, c'est de la racaille. » Commença le capitaine, juste derrière moi.

« En quel honneur ? »

« Bof, à part se tenir en rang et tenir une formation de marche sans trop marché sur le talon de son voisin de devant, ils ne savent rien faire. »

Je me retourne et je fixe des gros yeux sur lui.

« Pardon ? »

« Il ne vous à pas dit ? »

« Il m'a parlé d'une troupe d'indiscipliné. » Je commençais à voir la douzaine de lieutenants avec le regard papillonnant ailleurs.

« Et glandeur, et prêt à tout pour ne pas changer. » Rajouta le capitaine.

« Donc, indiscipliné et bras cassé, bien, j'ai du boulot. » Je me retournais et je me remis à marché, la troupe fit de même. La marche repris de plus belle, l'architecture de la ville était très pauvre et délabré, je me demandais bien de quand date le dernier grand ravalement de façade. Alors que je marchais, j'entrevis du coin deux l'œil, deux femmes sur le trottoir d'à coté se retourner à notre passage. Surement celle qui aime les uniformes. Toujours est-il que nous arrivâmes devant les grilles de la caserne. Une cour, trois bâtiments un plus grand juste en face, deux petits sur les coté, et personne pour monté la garde. En fait, l'on pouvait y entré comme dans un moulin. Je pénétrais l'enceinte, toujours avec la troupes de planqués derrière moi. Il y avait un mat au centre de la cour, ou flottait un drapeau rouge. Déjà rien que le mat dévorer par la moisissure laisser à penser un certain relâchement.

Nous ne vîmes pas âme qui vive en traversant la cour, ni même dans le vestibule du bâtiment principale. Cependant un net brouhaha nous interpella. Nous n'étions pas loin du réfectoire, et c'était surement le repaire de ce soviet. Quel idiotie, tout le monde sait que la démocratie est une dictature pire que le reste …

Nous nous approchâmes que la porte du réfectoire, la porte entrouverte légèrement puis complètement. Le chaos personnifier dans une bonne centaine de personnes … Au loin, une genre d'estrade, plusieurs drapeaux dans un langage que je maitriser à peine, et un type faisant un discours, surement, le meneur, sans le meneur, ils seront obligés de m'écouter. Comme nous n'avions pas était vue,. J'en profitais pour déballer mon matériel. Comme j'avais mes valise avec moi, je les posais à terre et je m'agenouillais. J'ouvrais celle de droite, j'en sortait une crosse, puis un fusil, j'imbriquais l'un dans l'autre. Je ensuite, une boite avec des cartouche papier. Je pris une balle, la disposait dans la culasse, puis, je chargeais mon arme.

Ceci fait, je me remis debout et je me vis à visé le meneur, en imaginant la tête des types derrières moi, honnêtement, je m'en foutais. La cible, n'avait toujours rien remarqué, et continuais son discours.

BLAM !

La cible eut un air hagard un instant, un petit trou dans le front, puis un gros trou derrière. La détonation résonna dans le réfectoire, ramenant un silence bienfaiteur, toute les têtes se retournèrent dans ma direction.


« Votre attention s'il vous plait. Commençais-je en mettant mon fusil dans le dos. Je suis le colonel Vladimirovitch, et c'est moi qui a été charger de commander et de former la troupe de bras cassés que vous êtes. »

L'incompréhension se lisait bien dans leurs yeux.

« Comme vous n'êtes peut-être pas au courant, et que vos cerveau son en vieille, sachez que ça vient du ministère, et que ce n'est pas négociable. Pour vous, vous aurez un traitement de faveur, il y aura du sang, des larmes, des pleurs, des gémissements, des lamentations, on m'a demander de vous transformer en soldats, en vrai, et comme je crois comprendre que vous n'avez de génie, que le nom, je crois une formation accélérer s'impose.

Pour commencer, y a t-il des gens qui parmi vous remettrez mon autorité en question ? »

La foule hurla, un gros baraqué arriva sur moi, j'ordonnais à mes sous-fifre de ne pas bouger (et encore moins de reculer.) Il avait ma taille mais le double de ma musculature, il envoya sa main sur ma gorge et je sentais ma respiration ralentir de manière inquiétante. Comme la foule hurlait encore la ma mort, je me devais de réagir. Je portais ma main gauche à sa gorge, mais sans presser aussi fermement que lui, et en un éclair je rétablis la situation à ma faveur.

Neuf doigts, à la senestre, c'est pratique, mon petit système de lame à ressort fonctionnait à merveille. Mort subite, je dégageais sa main devenue molle de ma gorge, et poussant légèrement le type par derrière, il s'affadit sur le sol devant les regards médusés de ses compagnons, une grosse entaille d'où coulait le sang depuis sa gorge, trachée, œsophage et moelle épinière tranché net d'un coup. Le silence revint devant la scène. Je reprit une posture normal une fois ma respiration revenue à la normal. Je gardais ma lame bien en évidence, les soldats la regardait avec un air inquiet, voir même terrifie.


« Je vous remercie de votre total et sincère soumission à la hiérarchie militaire. »

Silence, je réfléchissais.

« Comme vous le savez, l'incompétence et l'indiscipline sont semble t-il devenue à la mode, les turcoses se riraient volontiers de vous. Vous ne feriez pas le poids face à eux, même si ils sont technologiquement obsolète. Je ce que je compte faire de vous, bandes de bons à rien, peigne-culs et manges-merde, je compte bien faire de vous ds soldats, des vrais, de ceux qui vous rases un pays en une mâtiné, ceux qui gagne à dix contre un, qui vous choppe un navire à la nage, bref des hommes, des vrais, pas des pucelles comme vous, tant que vous n'aurez pas été soumis à la guerre, la vrai, vous resterez des pucelles, et croyez moi, c'est infiniment plus facile qu'avec une femme. »

Les soldats n'osaient pas intervenir, j'en profitais.

« Comme il faudra recadrer les choses, comme il faut, et parce que je suis sympa, demain matin, huit heures, je veux les effectifs complet avec barda réglementaire sur le dos et en tenue de campagne. Une sortie ''nature'' s'impose. Et veillez a ce que vous vous réveillez à l'heure, sinon, c'est la décimation qui vous attend. Bon on se tire les doigts des miches et vous me remettez tout ce fatras de cette caserne au propre, allez me cramer ces drapeaux rouges tout moche et hissez moi un beau pavillon russlave, que ça ait un peu de gueule foutre-dieu ! »

Je me retournais.

« Ca risque rien le blasphème avec ces types la ? »

« C'est des rouges, dont des athées. » Répondis le capitaine.

Je revenais à mes trouffions.

« Bon, si vous ne tenez pas à ce que je la fasse maintenant la décimation, EXECUTION ! »

Les soldats se levèrent en grognant, et c'est dans le désordre le plus total qu'ils se mirent à l'oeuvre.

« Et il n'y a que dans la Garde que vous avez le droit de grogner, et vue votre niveau vous êtes pas prêt d'en être. »

Je revenais à mes larbins.

« Bon, les bleus, vous avez vus comment on fait ? Quand y en a un qui se plaint, c'est la correction, action répression, compris ? »

Les lieutenants opinèrent de la tête.

« Capitaine trouvé moi une chambre dans un hôtel convenable, je n'ose imaginer l'état de ce qui doit surement être mon appartement de fonction. Et un uniforme aussi, j'ai besoin de me changer vite fait. »

« Ce sera fait colonel. »

Il se retourna et s'en alla, quand à moi, je restais la et je ne bougeais pas, je surveillais que les hommes fassent bien leurs ménage, cela avait effectivement besoin d'un bon ravalement ici.
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Légation du Daearuil
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Rue st-Pavel Empty Re: Rue st-Pavel

Jeu 25 Nov 2010 - 22:14
Cette uniforme était un peu près du corps, mais il m'aller comme un gant, et puis au moins j'étais dans mon bain.

Ils bien quatre cents, pas du tout réveillé mais au moins en rangs, en tenue de campagne et avec leurs barda. Je passais la revue, à chaque nouvelle tête, c'était la même chose, des yeux mi-clos, un air inquiet en passant près de moi, des musicos avec leurs tambours lacérés et trompette éventré, un drapeau rouge en guise de drapeaux régimentaire. Ils n'ont pas du tout apprécier que je l'arrache et que je le brule devant leurs yeux, mais il fallait remettre de l'ordre, alors j'en remettais. Ma petite troupe de bleus était aussi la, mais bien réveillé eux au moins, ils seraient vigilants quant aux tentatives de réfractions.


« Bon, soldats, on m'a donner la lourde tache de vous remettre sur le droit chemin, et je vais tout faire pour y arriver, mais comme certains chercheront à se faire la belle, voici les consignes :

-règle numéro une, j'ai toujours raison. Règle numéro deux, si jamais j'ai tort, merci de vous en referez à la première règle.

-Vous me suivez au doigt et à l'heure, si je vous dit de vous ouvrir le ventre avec une baïonnette, vous le faites sans vous poser de questions;

-Le premier qui cherche à fuir, sera fusillé pour désertion;

-Une pause d'une heure tout les quatre heures, au moins cinquante kilomètres de marche par jours, ce sera long et difficile, ceux qui craqueront, qu'ils craquent mais qu'ils continuent quand même, y a des gens qui comptent sur vous si jamais la guerre arrive.

-Interdiction formel de s'en prendre aux civils, quand on veut quelque chose, on l'achète, et c'est tout. Si vous voulez de la bouffe, achetez-en, si vous voulez des putes, payez-les. Les voleurs, les violeurs, les tueurs et les pilleurs, seront tous fusillés, et leurs cadavres livrés au charognes.

Nous resteront en manœuvre pour deux mois, avec entrainement, cours théorique sur la guerre, et parcours du combattant. Je ne voudrais par revenir à la garnison avec la moitié des effectifs disparue dans la nature.

Des questions ? »

J'entendis une mouche voler.

« Bon, régiment, en colonne ! »

Dans un ramdam pas possible, la troupe se mit en colonne.

« Régiment, MAAAAAAAaaaarche ! »

Moi devant, mes larbins derrière et la troupe encore derrière, une longue file d'hommes passa les grilles de la caserne et s'engouffra en me suivant dans les rues de la ville, ils nous faudrait dix bonnes minutes pour quitter la ville. Je faisais déployer les lieutenants aux endroit stratégiques pour prendre les fuyards.

« Capitaine ? »

« Colonel ? »

« Vous êtes dispensé. »

« Et pour quel raison chef ? »

« Trouvez moi des ouvriers pour me ravaler cette ruine qui nous sert de caserne, un couturier pour les drapeaux régimentaire … Et un instrumentiste pour me refaire une musique de régiment digne de ce nom. »

« Ah, bien, j'y vais. »

« Et évitez de trouver des incompétents en bâtiment quand même, je vous fait confiance. »

Le Capitaine quitta le rang et s'en alla à sa mission. Un soldat m'interpella.

« Chef ! Pourquoi on prend pas le train chef ? »

« Parce que vous êtes des gros tas, et un peu de sport vous fera le plus grand bien. »

Ça va les calmer pour de bon ça. J'avais déjà prévue mon itinéraire, nous longerions la Wolga jusqu'à sa source pour rejoindre les montagnes dans les cosaqueries, en espérant que ces derniers ne soit pas très regardant par la-bas. Nous marcherons jusqu'à la Krimée, puis nous tracerons une ligne droite jusqu'au lac Païkal pour rejoindre Murasibirsk. Gros programme de toute façon. 800 kilomètres à faire en deux mois, cela devrait faire l'affaire.
Feodor Pojarski
Feodor Pojarski
Nombre de messages : 436
Date d'inscription : 06/09/2008

Rue st-Pavel Empty Re: Rue st-Pavel

Sam 27 Nov 2010 - 13:48
Le IIIe Régiment de Génie n'en était qu'à son quatrième jour de marche, dans la campagne sibérienne balayée par des vents glacés, que déjà surgissait une estafette à cheval, muni d'ordres extrêmement importants. Le cavalier remonta la colonne, puis pila net devant celui qui semblait être le colonel Vladimirovitch:

- Mon Colonel ! J'ai pour vous un ordre prioritaire émanant du GQG. Il tendit le mince pli cacheté à Fedor Ivan:


Au Colonel Vladimirovitch,

Ordre vous est donné de rallier la gare la plus proche, d'y réquisitionner un train, et de faire mouvement dans les plus brefs délais vers Tougoulym, capitale des Cosaques du Don.
Sur place:
1/ assurez vous de la loyauté (ou du moins de la neutralité) du Kroug des chefs cosaques
2/procédez au désarmement du régiment rebelle "Révolution et Etat de Droit"
3/ procédez à l'arrestation de Kassian Pavlovitch Loughinine

Des renforts suivront.

Addendum: Dans l'éventualité où vous ne parvenez pas à réaliser les trois objectifs, vous avez plein pouvoir pour négocier avec les parties 1/ et 2/ dans l'optique de l'objectif 3/.

A.F. Boulkinov,
Chef d'Etat-major,
pour le Généralissime Pojarski
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Légation du Daearuil
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Date d'inscription : 04/11/2010

Rue st-Pavel Empty Re: Rue st-Pavel

Sam 27 Nov 2010 - 17:03
Chaque pause d'une heure étaient toujours le bon moment pour la sieste …

Et ces types la en savait quelque chose, tout les quatre heures, la pause règlementaire d'une heure, soit une sieste d'une heure, dure dure de pouvoir caser quelque chose d'utile dans leur têtes. Lors des premiers jours, j'ai appris en fait n'avait pas monté un soviet comme le disais le chef, mais une choral … Et j'avais tuer leur chef de chœur et un de leur barytons. Comme quoi, la désinformation marche à merveille dans ce pays.

Quoi qu'il en soit j'avais appris finalement qu'ils tenait mieux la route. Ça ne semblait pas être de simples paysans arracher à leurs terres, certains venait de classes aisés. Ce régiment comptait cinq bataillons à cinq compagnies. Il y avait le premier bataillon de reconnaissance, le deuxième était un bataillon de mineur, le troisième forestier, pont et chaussés, le quatrième sapeur, démineur, saboteur et explosifs, le cinquième était celui des têtes d'ampoules, les ingénieurs de la troupe. En plus des quatre cents hommes, il y avait les cuisiniers, les cantinières ainsi le matériel, soit pas loin de six cents personnes

Finalement j'avais un peu plus d'espoir d'en faire quelque chose qu'au début de cette manœuvre. Si je n'avais pas était déranger par une estafette à cheval. Un hussard, avec un uniforme pas aussi colorés que dans la plupart des pays, mais un hussard quand même à voir sa démarche. Et vue son épuisement, d'une c'est que nous avions fait beaucoup de trajets, et deux, le cachet indiqué que ça venait de haut.

J'attendis la prochaine pause, deux heures plus tard pour faire connaître à tout le monde le changement de programme.


« Changement de programme soldats, notre généralissime nous fait une fleur, on aura de l'action. Nous devons trouver la gare la plus proche et atteindre les cosaqueries plus vite que prévue, surement encore une histoire de haut-gradés ripoux.

: Il y a une gare pas très loin d'ici, à une vingtaine de kilomètres colonel. Rajouta un lieutenant.

: Bien, ça nous fera gagner du temps, vingt kilomètres c'est pas la mer à boire pour vous.

: Chef, juste une question, pourquoi on doit faire l'arrêtez chef ? Demanda un soldat dans la troupe.

: Je sais pas, ça n'est pas marqué, mais si ça vient de haut, c'est que surement il a due faire une grosse bêtise, bon on se remet en marche et on se dépêche, si ça se trouve, il est déjà en route. »

La troupe se remit un peu mollement en marche, il n'y eu qu'une demie-heure de pause, mais d'ici trois heures, la gare tant espérer serait atteint. Personnellement, je me fichais complètement de savoir ce qu'il avait fait, tant que ça ne compliquais pas mes objectifs.

Trois heures de marche furent effectivement nécessaire pour atteindre le petit village avec la gare. Il fallut faire preuve de ''courtoisie'' pour faire comprendre au chef de gare que le prochain train pour les cosaqueries était pour le régiment, dire que je n'hésiterais pas à sabrer chacun des passagers du prochain train pour faire de la place la convaincue.

Il y eu une heure d'attente pour le prochain train. Le régiment entier le fit vider de ses passagers, lesquels protestait, j'en calmer un ou deux, ce hameaux manque de policiers …

Comme le train n'avais pas assez de wagon pour six cents personnes, une bonne centaine de soldats se retrouvèrent sur les toits des wagons. Le chef de gare m'indiqua qu'avec tout ce monde, le train ne pourrait pas atteindre sa destination avant deux jours. En regardant ma carte, je calculait qu'Opessa était théoriquement plus proche des cosaqueries que nous le sommes actuellement, mais il ne semble pas y avoir de trajet directe entre Opessa et Tougoulym. J'espérer que nous ayons une longueur d'avance.
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