Question

Bonjour,
j'aurais deux trois questions ?
Quel texte officialise la création de votre entreprise?
D'où en vienne les capitaux?
Quel compte rendu de la réunion du cabinet autorise la production de vos armes?

La secrétaire du Palais de l’Industrie leva un instant ses yeux du registre qu’elle consultait et contempla le nouvel arrivant, puis répondit aimablement :

-« Bonsoir monsieur. Je ne suis pas autorisée et disposée à vous répondre sur ce sujet, et vous prierais de bien vouloir envoyer un courrier aux services administratifs compétant de la Corporation si vous souhaitez en savoir plus sur l'état des choses. »

Je prefere voir en personne votre réponsable, il est de la responsabilité de la Douma de faire respecter la loi, et donc les textes qui ont même force que les lois. Je vais donc attendre ici, sauf si vous preferez que j'ailles moi même voir M.Mikhaïl-Alexandrovich, étands donné que le chemin parait simple.

La secrétaire réajusta ses lorgnons et dit :

-« Qui êtes-vous, monsieur, pour parler au nom de la Douma et vouloir converser avec monsieur le président ? »

Je suis un des menbres de la Douma, donc j'effectue un des travails qui incombe à la Douma, j'en suis même le président ou consul si vous preferez.
Vous voulez ma carte officiel ainsi que le texte de la constitution qui régit le statut de consul ?

La jeune femme sourit, trouvant l’inconnu peut galant :

-« Non merci, monsieur. Votre carte est cependant nécessaire. »

Le consul sorti sa carte de travail où l'on pouvait lire les mentions de député, consul et général de la garde impérial.

Voici donc, maintenant, je vous prie aimable demoiselle de bien vouloit me mener dans le bureau de votre respectable dirigeant.

La secrétaire prit la carte en remerciant son interlocuteur, inscrivit son nom et les informations importantes à son sujet dans un registre, puis la lui rendit.
Elle murmura ensuite quelques mots a deux agents de forte carrure gardant la somptueuse entrée du bâtiment, et invita le sieur Niviakov à les suivre.
Ils empruntèrent un ascenseur après avoir traversé le hall revêtu de marbre, lustres et autres oeuvres d’art, qui les fit monter à l’un des derniers étages.
Des hommes d’affaire courraient presque dans le bâtiment, portant entre leurs bras de lourds dossiers destinés à la direction.
Tout le monde paraissait débordé, et il fut certain que chacun faisait au mieux son travail.

Enfin, au fond d’un couloir, se trouvait une porte en ébène calfeutrée, préservant le silence intérieur, et les deux policiers la firent franchir par le Consul, qui se retrouva seul dans un bureau à la taille démesurée.
Il est inutile de s’attarder sur le faste déployé, chose commune à tous les grands patrons de l’époque, mais il convient de souligner que Son Excellence de Cheremetievska-Brasnov était là, assis sur un grand fauteuil de cuire en lisant puis signant des papiers visiblement important.
Ici, donc, on ne chômait point.
Sans détourner son regard des papiers éparpillés sur sa table de travail, le président s’exclama :

-« Bonsoir, monsieur. A qui avons-Nous l’honneur ? »

Je pense que vous le savez fort bien et je ne suis pas venu pour vous faire des présentations. Je viens ici pour parler de votre entreprise et de sa conformité.

Le président s’arrêta et, la face amusée, répondit :

-« L’on Nous avait dit que les militaires ne sont point aimables, et en voici la preuve. Mais oui, en effet, Nous connaissons votre identité. Pour tout vous dire, Nous en savons plus sur vous que vous n’en savez sur Notre personne. »

Un sourire intriguant parcouru le visage de Son Excellence.
Faisant poliment comprendre au Consul d’un geste de la main qu’il pouvait s’assoire, l’homme continua :

« Il est clair que vous souhaitez en venir au but. Nous vous écoutons mais faites vite, car Nous avons des devoirs envers l’Empire. »

Tout d'abord, je me pause la question de la raison pour laquelle, la fiche de votre entreprise n'est pas au ministère.

De plus, le financement de cette entreprise est très sombre.

Et il est obligatoire que pour que votre entreprise produise, elle est l'autorisation du cabinet, ce qui n'est pas le cas.

EL/

Igor Niviakov a écrit:Je pense que vous le savez fort bien et je ne suis pas venu pour vous faire des présentations. Je viens ici pour parler de votre entreprise et de sa conformité.

#1: première phrase sans AUCUNE faute d'orthographe... /EL

Le Président répondit sur un ton neutre :

-« Nous enverrons Notre rapport au ministère en question lorsque Nous jugerons le moment approprié. Nous ne sommes point forcés de Nous conformer à cette règle qui est de déposer l’entreprise auprès des instances compétentes car Mossine-Nagant Industries existait déjà depuis bien longtemps, puis a simplement été placée sous Notre direction.

Vous ne connaissez rien de l’entreprise et n’en êtes pas salarié, il est bien audacieux de votre part d’insinuer que ses fonds sont douteux.
Nous dirons pour faire court que les usines possédaient déjà de l’argent de coté, et qu’il Nous a suffit d’insuffler un peut de Notre fortune dans l’engrenage pour tout faire repartir.

Nous Nous passerons pour le moment d’une autorisation du Cabinet, qui est inutile car le Czar, aussi Chef Suprême des Armées, nous a donné Sa Bénédiction.
Néanmoins, faisant parti du Gouvernement et appréciant beaucoup le Premier-Ministre Son Altesse le Grand-Duc de Ninjovskaia, Nous avons décidé de la rédaction d’un contra spécialisé avec l’Etat Russlave qui régira les activités de l’entreprise.

Autre chose ? »