Qui est Bolbotoun ?
- Le Vigilant
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Date d'inscription : 21/04/2009
LE VIGILANT, 12 janvier 1918
Ven 12 Jan 2018 - 10:52
LE VIGILANT
"Contre la Franc-charpenterie, la liberté d'informer"
Bolbotoun !
Comme la foudre dans le ciel d’été – Bolbotoun !
Comme un coup de feu dans la nuit – Bolbotoun !
Comme la terreur dans le cœur des hommes – Bolbotoun !
Comme un coup de feu dans la nuit – Bolbotoun !
Comme la terreur dans le cœur des hommes – Bolbotoun !
Un héros des temps modernes
Il est des époques où la vie semble renouer avec les temps épiques et glorieux de jadis, où la vie se pare soudainement des atours d’une Res Gestae héroïque et fulgurante, lumineuse et brutale.
Ainsi en est-il de notre intervention au Kolozistan. Jamais on n’a vu plus noble cause que celle qui a conduit la Russlavie à engager ses forces d’un cœur ardent et généreux à l’appui de son petit frère kolozistanais. La fraternité slave, la défense du Droit et du Bien, la protection des affamés et des orphelins, voilà ce qui a motivé le Loup russlave à s’engager d’un cœur unanime au Kolozistan, montrant à tout le Micromonde un exemple d’abnégation et de dévouement.
Qu’on en juge ! Alors que les puissances impérialistes, nous voulons dire Edoran et la Francovie, totalement indifférentes au martyr du peuple kolozistanais, s’agitaient en vaines conspirations dans l’ombre des boudoirs de Dzerjinsk, épuisant leurs faibles énergies efféminées en d’interminables afféteries diplomatiques, où étaient les Russlaves ?
Ils étaient sur la ligne de front, portant sur leurs seules épaules le poids de la lutte contre l’hydre pavloviste, cet immonde ramassis de criminels de guerre et de pervers sexuels armés et équipés par l’Internationale Franc-charpentière.
Pendant que les Edoranais organisaient l’annexion et l’exploitation du nord du Kolozistan, engageant des persécutions inouïes contre la paysannerie cathodoxe, où étaient les Russlaves ?
Ils passaient à l’offensive, enfonçant les lignes pavlovistes à la pointe de leurs baïonnettes.
Pendant que merksistes et libéraux kolozistanais se disputaient en de vaines arguties infantiles sous les ors des palais de Djerzinsk, où étaient les Russlaves ?
Ils marchaient sur Tchernislav, refoulant partout la canaille pavloviste, libérant villes et villages à tour-de-bras en une chevauchée héroïque rappelant les heures les plus glorieuses de la race slave.
A la tête de cette chevauchée, à la pointe écarlate de ce fer de lance de la Civilisation ; Bolbotoun.
Bolbotoun ! Son nom résonne partout en échos terribles, suscitant l’espoir et la joie chez les Kolozistanais, répandant la peur dans le cœur des Pavlovistes.
Bolbotoun ! Ataman des Cosaques du Tniepr, héros à cheval des temps mécanisés ! Libérateur de la plaine kolozistanaise, l’horizon le voit s’approcher dans l’effroi et la splendeur ; à ses côtés chevauchent la Mort et la Vengeance.
Bolbotoun ! L'incendie rougeoie sur la terre cathodoxe, délivrée de ses chaînes, et Tchernislav la Noire, antique et glorieuse ville pour tous les Slaves, voit approcher l’heure de sa libération. Des cœurs des habitants de Tchernislav ne monte plus qu’un cri unanime : Bolbotoun ! Libère-nous, Bolbotoun ! Tchernislav t’appelle, Tchernislav te désire, Tchernislav t’attend !
Et Bolbotoun, entendant ce cri, galope vers Tchernislav la Noire à la tête de sa cosaquerie et de son artillerie montée. La libération est proche.
Eli Petrovitch Fomine,
Correspondant de guerre
Ainsi en est-il de notre intervention au Kolozistan. Jamais on n’a vu plus noble cause que celle qui a conduit la Russlavie à engager ses forces d’un cœur ardent et généreux à l’appui de son petit frère kolozistanais. La fraternité slave, la défense du Droit et du Bien, la protection des affamés et des orphelins, voilà ce qui a motivé le Loup russlave à s’engager d’un cœur unanime au Kolozistan, montrant à tout le Micromonde un exemple d’abnégation et de dévouement.
Qu’on en juge ! Alors que les puissances impérialistes, nous voulons dire Edoran et la Francovie, totalement indifférentes au martyr du peuple kolozistanais, s’agitaient en vaines conspirations dans l’ombre des boudoirs de Dzerjinsk, épuisant leurs faibles énergies efféminées en d’interminables afféteries diplomatiques, où étaient les Russlaves ?
Ils étaient sur la ligne de front, portant sur leurs seules épaules le poids de la lutte contre l’hydre pavloviste, cet immonde ramassis de criminels de guerre et de pervers sexuels armés et équipés par l’Internationale Franc-charpentière.
Pendant que les Edoranais organisaient l’annexion et l’exploitation du nord du Kolozistan, engageant des persécutions inouïes contre la paysannerie cathodoxe, où étaient les Russlaves ?
Ils passaient à l’offensive, enfonçant les lignes pavlovistes à la pointe de leurs baïonnettes.
Pendant que merksistes et libéraux kolozistanais se disputaient en de vaines arguties infantiles sous les ors des palais de Djerzinsk, où étaient les Russlaves ?
Ils marchaient sur Tchernislav, refoulant partout la canaille pavloviste, libérant villes et villages à tour-de-bras en une chevauchée héroïque rappelant les heures les plus glorieuses de la race slave.
A la tête de cette chevauchée, à la pointe écarlate de ce fer de lance de la Civilisation ; Bolbotoun.
Bolbotoun ! Son nom résonne partout en échos terribles, suscitant l’espoir et la joie chez les Kolozistanais, répandant la peur dans le cœur des Pavlovistes.
Bolbotoun ! Ataman des Cosaques du Tniepr, héros à cheval des temps mécanisés ! Libérateur de la plaine kolozistanaise, l’horizon le voit s’approcher dans l’effroi et la splendeur ; à ses côtés chevauchent la Mort et la Vengeance.
Bolbotoun ! L'incendie rougeoie sur la terre cathodoxe, délivrée de ses chaînes, et Tchernislav la Noire, antique et glorieuse ville pour tous les Slaves, voit approcher l’heure de sa libération. Des cœurs des habitants de Tchernislav ne monte plus qu’un cri unanime : Bolbotoun ! Libère-nous, Bolbotoun ! Tchernislav t’appelle, Tchernislav te désire, Tchernislav t’attend !
Et Bolbotoun, entendant ce cri, galope vers Tchernislav la Noire à la tête de sa cosaquerie et de son artillerie montée. La libération est proche.
Eli Petrovitch Fomine,
Correspondant de guerre
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