Dans un café huppé de Gornograd

Une jeune dame, d'a peine 30 ans aurait-on dit débarqu'a de sa calèche devant le café Pharisien de gornograd, réputé autant pour ses délectables infusions de caféïnes que pour ses ragots et potins sur le caviars boyards de l'Empire.

La jeune Demoiselle inconnue jusque là fit tourner plusieurs tête. D'une élégance, certes mais également habillé d'un chic fou de la dernière mode en vogue, il était évident qu'elle n'était pas de la Campagne environnante. Pourtant, personne ne semblait l'avoir déja vu et... semble t il que oui aussi. Toujours est-il que dans sa grâce manifeste, elle demanda un café Wiennois accompagné de quelques profiteroles. Les autres femmes la regardait du coin de l'oeil et chuchotait a souhait dans son dos.

L'Illustre demoiselle le savait et le désirait ardemment. Que l'on parle d'elle était son désir. Bientot la vérité éclaterait...

Mais qui donc était-elle?

La jeune Dame en question prit le temps de boire tranquillement son infusion de couleur marron. Elle y ajouta 2 petits cubes de sucre brun. Elle rebrassa le contenu de sa tasse avec sa cueuillire agacant au passage les gens autour d'elle. Décidemment elle n'était pas très subtile pour une inconnue se disait les vieilles commères piglotte du café.

Soudain, un homme entra dans le café et vint rejoindre prestemment la demoiselle. 1 mètre 80 aurait-on appercut de plusieurs sources. Austère, l'air quelques peu British. La dame le nommait par le nom de Monsieur. Cet homme avait autant de prestance et de délicatesse dans son rafinement que l'Illustre Inconnue. S'approchant pour tenter de comprendre leurs conversations, les commères nous rapportèrent ceci:

Nous voici donc en Russlavie ma très cher enfant, d'ici peu notre plan sera bientot mis en action.

Les deux se mirent a rire, mais lugubrement...

Il faut absolument se débarasser de la vieille. elle l'empoisonne son existence. J'ai été mise a l'écart trop longtemps a cause d'elle. Il ne sait même pas que j'existe a vrai dire...

Un silence entre les deux, visiblement mal a l'aise

Silence! Il ne faudrait pas que quiquonque sache qui nous sommes, du moins pas encore pour le moment. Vous êtes considéré comme étrangère encore...

Mais si ne me reconnaissait pas?

J'en douterais fortement Altesse...

Un jeune homme d'une vaingtaine d'année entra dans le café et se diriga vers le petit groupe.

Puis s'adressant à la femme il dit :

Mère, il suffit, je vais aller au chateau, il doit savoir, je ferais en sorte qu'il le sache.

Mon fils mon tendre fils... Je te met en garde contre la Hildegarde! Ce n'est pas n'importe qui! Fait extrêment attention. Dans les jours qui viennent, elle voudra surement t'éliminer une bonne fois pour toute. N'oublie aps qu'en ce moment, elle est la seule héritière direct, a part de son demi-fils.

Elle prit une grande inspiration, elle eut un frissons. Elle ne voulait pas perdre son enfant chéri. Elle l'avait retrouvé après des rumeurs et des années de recherche. L'empoisonnante Hildegarde, sa belle-soeur, l'avait contrait a l'exil sous menace de mort. Aussi était-elle obligé de rester incognito dans la capitale. Mais cela l'ennuyait.

Dimitri, promet moi de faire attention. Quoi qu'il arrive, garde la tête bien haute.

Elle lui prit la main.

Il répondit à sa mère :

Mère, ne vous inquiétez point pour moi, je ne me laisserai pas faire.

Puis lorsqu'elle lui prit la main il lui répondit la même chose.

Je garderais la tête haute ne vous inquiétez pas.

Puis il se leva, son imposante silhouette ne passait pas inaperçue, près d'1 mètre 89. Puis il sorti, il allait vers la gare, pour y prendre un tain pour Piter-Orenbourg.

La dame, demoiselle pour plusieurs son apprence trompant avantageusement son âge, regarda son fils partir vers vers la gare sans dire un mot. Elle eut une crise de larmes... Que venait-elle de faire? Lancer tout droit dans la gueule du loup son unique fils dans les griffes de la vieille et sans scrupule Hildegarde Zornik. Avant de partir, la dame avait glissé un petit mot écrit dans la poche du veston de son fils.

Dimitri, la vieille Hildegarde est surement au courrant de ton arrivé à Piter, soit prudent. Si jamais cela tournait mal, envois moi un télégraphe a Gornograd. Je resterai encore pour quelques jours avant de repartir pour Lutéal.

Je t'aime.

L'Illustre Inconnue, ne s'était pas soucié outre mesure de la discussion qu'elle venait d'avoir avec son propre fils. Du loin de la salle, un homme habillé d'un long manteau n'avait pas manqué une seule des phrases de la conversation, il se nommait Olaf Tchenko.

C'est bien elle, dit-il. Exécutons le plan de Mme Zornik!

Et subtilement, lorsque l'Illustre Inconnue alla à la salle de bain se refaire une beauté, l'homme en question versa le contenu d'un petit sachet dans la tasse de thé de la belle demoiselle et le brassa doucement. Il s'enfuit ensuite vers l'extérieur.

Mission accomplit! dit-il en ricanant...

La jeune dame retourna s'assoir à sa table finir sa tasse et le prit d'une gorgé entière. elle prit ensuite le chemin du chemin dans un petit hotel sordide. Les fastes du passé n'était plus en rien sa vie actuellement! De Duchesse, il n'en restait que le nom qu'elle devait garder pour elle.

Soudain, éprise d'une violente douleur à la poitrine, elle s'effondra par terre. Elle tenta en vain de demander de l'aide mais ses lèvres paralysées par la douleur l'empêcha. Il était trop tard, son teint bleuit.

Elle était morte, Hildegarde venait une fois de plus de triompher.

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