Une lettre a Salekine

Monsieur Salekine,

Comme vous le savez et que vous devez surement vous souvenir, le Grand-Duc vous a aider financièrement et a tenu sa promesse et voulant redistribuer la richesse du Konsortium. Aujourd'hui encore, le Konsortium désire toujours aider les moins bien nantis. Nous avons eut vent d'un projet républicain voulant a tout prix nationaliser les sous-sols de l'Empire. L'idée n'est pas mauvaise mais nous tenons a garder en nos mains ce qui a déja été privatisé et été exploité par le Konsortium. Nous cherchons votre appuit en ce point. Briser les reins deja peut solide du Konsortium ne ferait qu'aggraver inutilement la situation financière de l'Empire car nous serions dans l'obligation de mettre a pieds des centaines de travailleurs.

Pourrions-nous trouver un terrain d'entente satisfaisant? J'attends des nouvelles impatiemment de votre part.

Professeur deBarov

Monsieur De Barov,
Rassurez-vous, nous n'avons pas oublié le Konsortium. Toutefois, vous devez bien comprendre que cette fois-ci la situation est différente: autant la nomination d'un israëlite au poste de président de la Douma est choquante quand on sait à quel point ces gens sont totalement réfractaires à toute politisation positive, autant la nationalisation du sous-sol va dans le sens de notre programme politique et de notre vison de l'Etat. Mais je pense que ce que vous exploitez déjà devrait vous rester puisque sinon cette loi constituerait une expropriation anti-constitutionnelle car contraire au principe d'inviolabilité de la propriété privée. Rappelez-vous, c'est cela qui avait fait échouer le projet de réforme agraire du PP que nous soutenions...

Cher Monsieur Salekine,

je vous remercie de la réponse favorable a laquelle vous me réconforter. Bien entendu, l'argent et la machine conservatrice reste toujours relativement proche du parti merksiste. Nous souhaitons également que les entreprises transférés sous votre giron continue de bien se porter et assure une solide prospérité économique a la commune de Navolstov.

Bien a vous,

deBarov