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Appel aux prolétaires d'Orient
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Lavrenti Boulgakov- Nombre de messages : 11
Date d'inscription : 16/11/2010
Appel aux prolétaires d'Orient
Lun 21 Fév 2011 - 20:27
Plusieurs dizaines de militants rouges d'Orient organisèrent sous les ordres de Lavrenti, un grand rassemblement prolétaire de lutte contre le régime impérial.
Le mot d'ordre était clair : il fallait assurer l'insurrection et appeler à la révolte au vu du mutisme des autorités face aux revendications sociales des travailleurs d'Orient mais aussi du pays.
C'est là que la contestation devaient démarrer et parce que la région était propice aux révoltes et aux expressions dissidentes, Lavrenti fit de l'Orient le chef-lieu de la Révolution à venir.
Se contentant de communiquer par télégraphe avec les militants d'Orient, il restait quant à lui dans les coins sombres de Navolstov, en train de négocier avec le gouvernement merksiste déchu et les personnalités du PMLR qui dominaient encore hier la Guberniya.
Tout au long de son mandat, Lavrenti s'était efforcé de conjuguer le PMLR et la branche radicale en désignant les délégués aux provinces de "Chefs révolutionnaires", se constituant ainsi un vaste réseau organisé qui puisse permettre de déstabiliser les lieux. C'était pour ainsi dire pire qu'un réseau de maître-espionnes.
C'est après avoir répondu à une offre secrète que le leader des rouges envoya une nouvelle missive, cette fois-ci à l'endroit du chef des révolutionnaires d'Orient :
Il ne restait plus qu'à Vladimir Raspoutine de déchiffrer le langage codé du message envoyé par télégramme. Une méthode efficace que le conseiller de Lavrenti, un certain Beria, avait réussi à mettre au point. Un génie celui là.
Le mot d'ordre était clair : il fallait assurer l'insurrection et appeler à la révolte au vu du mutisme des autorités face aux revendications sociales des travailleurs d'Orient mais aussi du pays.
C'est là que la contestation devaient démarrer et parce que la région était propice aux révoltes et aux expressions dissidentes, Lavrenti fit de l'Orient le chef-lieu de la Révolution à venir.
Se contentant de communiquer par télégraphe avec les militants d'Orient, il restait quant à lui dans les coins sombres de Navolstov, en train de négocier avec le gouvernement merksiste déchu et les personnalités du PMLR qui dominaient encore hier la Guberniya.
Tout au long de son mandat, Lavrenti s'était efforcé de conjuguer le PMLR et la branche radicale en désignant les délégués aux provinces de "Chefs révolutionnaires", se constituant ainsi un vaste réseau organisé qui puisse permettre de déstabiliser les lieux. C'était pour ainsi dire pire qu'un réseau de maître-espionnes.
C'est après avoir répondu à une offre secrète que le leader des rouges envoya une nouvelle missive, cette fois-ci à l'endroit du chef des révolutionnaires d'Orient :
Vladimir...assurer...assassinat...industriels...fortunés...et...émeutes.
Il ne restait plus qu'à Vladimir Raspoutine de déchiffrer le langage codé du message envoyé par télégramme. Une méthode efficace que le conseiller de Lavrenti, un certain Beria, avait réussi à mettre au point. Un génie celui là.
Le Secrétaire- Nombre de messages : 957
Date d'inscription : 15/04/2006 
Re: Appel aux prolétaires d'Orient
Mar 15 Mar 2011 - 18:32
En matière de petit génies, l'Okhrana n'était pas dépourvue non plus. Ses agents de renseignement, ses agents provocateurs, ses mouchards, s'étaient remis au travail dès la restauration de la Monarchie, et ils quadrillaient le pays avec application.
Svetivostok était une ville sensible. Par deux fois, la Perle de l'Orient avait été le bastion de la Révolution, le rempart du séparatisme, le refuge de la lie républicaine. On connaissait l'attachement des habitants de la ville, plus évolués que la moyenne russlave, aux idéaux démocratiques. Il était hors de question pour la Monarchie restaurée de tolérer le moindre débordement dans cette région particulièrement sensible et difficilement contrôlable.
La gendarmerie impériale était sur les dents, prête à se déployer au moindre trouble, tandis que les sicaires de l'Okhrana fouillaient profondément dans la fange des réseaux clandestins, des associations étudiantes, des amicales ouvrières etc..., à l'affut du moindre signe annonciateur de révolte.
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