- Ion Boulkaniov
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Localisation : Provinces Rolamaviennes Libres et Unies
Date d'inscription : 20/03/2011
L'heure de la liberté ?
Dim 22 Mai 2011 - 23:39
Parti ! Le prince Pojarski avait prit la tangente en direction de la Petite-Russlavie avec une petite partie de ses troupes laissant l'armée russlave sans commandant et désunie !
Avant son départ, le prince c'était livré à un véritable pogrom contre les minorités noordzeelandophones et chironaises ne laissant dans son sillon que sang et larmes. Les fidèles éclaireurs de Ion Boulkaniov, des nationalistes pourtant convaincus, furent écœurés et effarés en visitant les villages, fumants et en ruines, de ce qui était autrefois de dynamiques communautés.
Avant de disparaitre, le général séditieux avait proclamé l'indépendance du territoire, confiant la destiné de ce nouveau pays à Ion Boulkaniov, à la stupeur de ce dernier.
Voïvode pour le moins discret, Ion Boulkaniov c'était évertué jusqu'à lors, à conserver une certaine distance avec le Prince espérant ainsi s'assurer une destinée favorable en cas de chute de ce dernier.
Avant son départ, le prince c'était livré à un véritable pogrom contre les minorités noordzeelandophones et chironaises ne laissant dans son sillon que sang et larmes. Les fidèles éclaireurs de Ion Boulkaniov, des nationalistes pourtant convaincus, furent écœurés et effarés en visitant les villages, fumants et en ruines, de ce qui était autrefois de dynamiques communautés.
Avant de disparaitre, le général séditieux avait proclamé l'indépendance du territoire, confiant la destiné de ce nouveau pays à Ion Boulkaniov, à la stupeur de ce dernier.
Voïvode pour le moins discret, Ion Boulkaniov c'était évertué jusqu'à lors, à conserver une certaine distance avec le Prince espérant ainsi s'assurer une destinée favorable en cas de chute de ce dernier.
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Re: L'heure de la liberté ?
Lun 23 Mai 2011 - 0:20
Discrètement, les principaux hommes influents de Transylvanie furent réunis au "Domaine Boulkaniov". Les rangs de ces derniers c'étaient singulièrement éclaircis avec les exactions de la troupe russlave qui ne c'était montré tendre avec personne. La réunion allait être pour le moins agitée :
"Andrei Boulkaniov, comment pouvons-nous vous faire confiance ? Vous avez été nommé Voïvode par Pojarski ! Qu'est-ce que nous prouve que vous n'avez pas vendu votre âme à l'ogre russlave ?
Je vous en prie Vasile Floricel, vous savez comme moi le sort qui m'attendait si je venais à refuser l'offre de ce boucher. Qui plus-est messieurs, vous êtes aujourd'hui encore libres de vos faits et gestes, si je m'étais vendu aux russlaves, vous croupiriez, au mieux, aux fonds de leurs geôles. "
L'argument avait fait mouche.
"Désolé Andrei, mais nous avons tous vécus de terribles moments et j'ai peine encore à m'en remettre.
Je comprends parfaitement Vasile, mais soyez assuré que j'entretien le même amour pour notre terre et pour mes frères transylvains que feu mon père.
Que nous proposez-vous Andrei ?
Avant de partir, ce cinglé de Pojarki m'a nommé "Dictateur de la République" avec en charge la gestion de notre territoire mais aussi de celui de ces voleurs de valaques.
Il a peut-être signé là votre arrêt de mort...
Peut-être bien que vous avez raison Alin Cosma, mais toujours est-il que je ne peux rien faire contre cela. D'après mes sources, il est parti avec plusieurs milliers d'hommes mais il reste un bon demi-million de soldats à l'occupant..."
Les mines s'assombrirent à l'annonce du chiffre, nul ne peinant à imaginer la puissance de feu d'une telle armée.
"Notre chance c'est que Pojarki est parti sans désigner son successeur hors l'état-major russlave est déchiré par les rivalités internes. Il ne devrait pas se passer trop de temps avant que les russlaves ne s'entre-tuent. Qui plus est leur logistique, déjà à la peine, va complètement s'écrouler avec la disparition de leur chef. Il nous faut mettre à profit cela et jouer le tout pour le tout. Nous n'arriverons pas à les vaincre lors d'un affrontement conventionnel, il nous faut une stratégie plus insidieuse, il nous faut introduire la peur dans leurs cœurs. Paralysons leur approvisionnement, éliminons leurs officiers, faisons disparaitre discrètement chaque saoulard de cette armée laissé seul par ses compagnons.
J'adhère à cela Andrei mais les russlaves pourraient bien le faire payer à notre peuple...
La liberté à un prix Alin et jamais nous n'avons été aussi proches du jour de notre libération."
Tous hochèrent de la tête.
"De mon coté, je vais mettre à profit ma nouvelle fonction pour préparer le peuple au soulèvement final.
Et pour les valaques ?
J'en fais mon affaire Vasile, j'en fais mon affaire... Si la destiné en a décidé ainsi alors nous serons bientôt libres mes frères. VIVE LA TRANSYLVANIE !"
"VIVE LA TRANSYLVANIE !" reprirent en cœur les notables transylvains
"Andrei Boulkaniov, comment pouvons-nous vous faire confiance ? Vous avez été nommé Voïvode par Pojarski ! Qu'est-ce que nous prouve que vous n'avez pas vendu votre âme à l'ogre russlave ?
Je vous en prie Vasile Floricel, vous savez comme moi le sort qui m'attendait si je venais à refuser l'offre de ce boucher. Qui plus-est messieurs, vous êtes aujourd'hui encore libres de vos faits et gestes, si je m'étais vendu aux russlaves, vous croupiriez, au mieux, aux fonds de leurs geôles. "
L'argument avait fait mouche.
"Désolé Andrei, mais nous avons tous vécus de terribles moments et j'ai peine encore à m'en remettre.
Je comprends parfaitement Vasile, mais soyez assuré que j'entretien le même amour pour notre terre et pour mes frères transylvains que feu mon père.
Que nous proposez-vous Andrei ?
Avant de partir, ce cinglé de Pojarki m'a nommé "Dictateur de la République" avec en charge la gestion de notre territoire mais aussi de celui de ces voleurs de valaques.
Il a peut-être signé là votre arrêt de mort...
Peut-être bien que vous avez raison Alin Cosma, mais toujours est-il que je ne peux rien faire contre cela. D'après mes sources, il est parti avec plusieurs milliers d'hommes mais il reste un bon demi-million de soldats à l'occupant..."
Les mines s'assombrirent à l'annonce du chiffre, nul ne peinant à imaginer la puissance de feu d'une telle armée.
"Notre chance c'est que Pojarki est parti sans désigner son successeur hors l'état-major russlave est déchiré par les rivalités internes. Il ne devrait pas se passer trop de temps avant que les russlaves ne s'entre-tuent. Qui plus est leur logistique, déjà à la peine, va complètement s'écrouler avec la disparition de leur chef. Il nous faut mettre à profit cela et jouer le tout pour le tout. Nous n'arriverons pas à les vaincre lors d'un affrontement conventionnel, il nous faut une stratégie plus insidieuse, il nous faut introduire la peur dans leurs cœurs. Paralysons leur approvisionnement, éliminons leurs officiers, faisons disparaitre discrètement chaque saoulard de cette armée laissé seul par ses compagnons.
J'adhère à cela Andrei mais les russlaves pourraient bien le faire payer à notre peuple...
La liberté à un prix Alin et jamais nous n'avons été aussi proches du jour de notre libération."
Tous hochèrent de la tête.
"De mon coté, je vais mettre à profit ma nouvelle fonction pour préparer le peuple au soulèvement final.
Et pour les valaques ?
J'en fais mon affaire Vasile, j'en fais mon affaire... Si la destiné en a décidé ainsi alors nous serons bientôt libres mes frères. VIVE LA TRANSYLVANIE !"
"VIVE LA TRANSYLVANIE !" reprirent en cœur les notables transylvains
- Ion Boulkaniov
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Re: L'heure de la liberté ?
Ven 27 Mai 2011 - 1:17
Les nationalistes transylvains commencèrent à faire leur œuvre, assassinant une poignée d'officiers à la tombée de la nuit, faisant disparaitre une vingtaine de saoulards russlaves dans les faubourgs malfamés de Sibiou.
Le lendemain, ce fut toute une escouade qui vint à disparaître lors d'une hasardeuse reconnaissance en foret.
Et ce n'était là que le début...
Le lendemain, ce fut toute une escouade qui vint à disparaître lors d'une hasardeuse reconnaissance en foret.
Et ce n'était là que le début...
- Ion Boulkaniov
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Re: L'heure de la liberté ?
Jeu 2 Juin 2011 - 1:04
La déroute était complète chez les troupes de l'occupant et la chasse au russlave était à présent ouverte. Un certain nombre de régiments réussissaient à se replier en bon ordre, pillant allègrement au passage villages et hameaux autochtones tandis d'autres se voyaient purement et simplement annihilés par la furia locale.
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