- Ion Boulkaniov
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Levée de l'armée républicaine de Transylvanie et Valachie
Lun 23 Mai 2011 - 1:21
A l'attention des peuples frères de Transylvanie et Valachie,
J'ordonne, en ce jour, la création de l'Armée Républicaine Socialiste de Transylvanie et Valachie (ARSTV).
Grâce à cela, nous pourrons assurer par nos propres moyens, la défense de notre terre et de nos familles ce qui permettra, par cela, à nos cousins russlaves de partir combattre l'ennemi jatonais qui occupe honteusement le Kaukaze.
Pour la République !
Ion Boulkaniov
Président de l'Autorité Transitoire de la République de Transylvanie et Valachie
- Ion Boulkaniov
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Re: Levée de l'armée républicaine de Transylvanie et Valachie
Ven 27 Mai 2011 - 0:10
Les volontaires transylvains accoururent, dépassant même allègrement les espérances les plus folles de Ion Boulkaniov.
Du coté valaque, l'enthousiasme fut moins marquant pour ne pas dire inexistant.
Il restait à présent à armer ces hommes...
Du coté valaque, l'enthousiasme fut moins marquant pour ne pas dire inexistant.
Il restait à présent à armer ces hommes...
- Ion Boulkaniov
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Re: Levée de l'armée républicaine de Transylvanie et Valachie
Ven 27 Mai 2011 - 1:11
La nouvelle de l'arrivée de troupes edoranaises en terre transylvaine provoqua la colère, une fois la stupeur évanouie, du peuple transylvain mais aussi celle du peuple valaque !
Bien que rivaux, les deux peuples avaient toujours sut, au cours de l'histoire, mettre de coté leurs querelles de clochés afin de s'unir contre l'ennemi commun.
Aujourd'hui, cet ennemi se voulait edoranais.
En effet, la présence des soldats de l'empereur d'Allancia ne s'expliquait que d'une seule manière aux yeux des locaux : Edoran en voulait à leur terre.
Chauffés à blancs par les partisans d’Ion Boulkaniov, ce fut un véritable déluge de patriotes qui émergea de tout cela.
Bien que rivaux, les deux peuples avaient toujours sut, au cours de l'histoire, mettre de coté leurs querelles de clochés afin de s'unir contre l'ennemi commun.
Aujourd'hui, cet ennemi se voulait edoranais.
En effet, la présence des soldats de l'empereur d'Allancia ne s'expliquait que d'une seule manière aux yeux des locaux : Edoran en voulait à leur terre.
Chauffés à blancs par les partisans d’Ion Boulkaniov, ce fut un véritable déluge de patriotes qui émergea de tout cela.
- Ion Boulkaniov
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Re: Levée de l'armée républicaine de Transylvanie et Valachie
Jeu 2 Juin 2011 - 2:03
Les premières purges au sein de l'armée de Transylvanie et de Valachie commencèrent.
Ceux soupçonnés de collusion avec l'ancien occupant russlave furent cloués au pilori sans aucune autre forme de procès.
On fit par la suite le ménage dans les rangs et on se sépara, sans le moindre état d'âme, et dans le sang, des gredins et autres bandits qui rapinaient et déstabilisaient le territoire de la République.
Ordre fut donné aux encadrants de ne pas provoquer la troupe edoranaise, l'effort devait être mis sur les troupes russlaves qu'il fallait harceler et éliminer au plus vite.
Peu à peu, l'armée républicaine s'organisait et se structurait.
Ceux soupçonnés de collusion avec l'ancien occupant russlave furent cloués au pilori sans aucune autre forme de procès.
On fit par la suite le ménage dans les rangs et on se sépara, sans le moindre état d'âme, et dans le sang, des gredins et autres bandits qui rapinaient et déstabilisaient le territoire de la République.
Ordre fut donné aux encadrants de ne pas provoquer la troupe edoranaise, l'effort devait être mis sur les troupes russlaves qu'il fallait harceler et éliminer au plus vite.
Peu à peu, l'armée républicaine s'organisait et se structurait.
- Feodor Pojarski
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Date d'inscription : 06/09/2008
Re: Levée de l'armée républicaine de Transylvanie et Valachie
Jeu 2 Juin 2011 - 16:27
Face à l'invasion étrangère, c'était toute une nation qui se dressait, éprise de liberté, prête à tous les sacrifices. Face à la menace impérialiste, les Valaques et les Transylvains, éternels rivaux, s'étaient unis en une seule patrie. Les haines de classes avaient également disparus: du magnat richissime au pauvre paysan, tous rejoignaient l'Armée avec enthousiasme, dans un délire patriotique. La Guerre de Transvalachie offrait au Micromonde le spectacle de deux peuples opprimés qui luttaient avec le courage du désespoir pour leur vie et leur liberté, face à deux Empires suprationaux dépourvus de pitié.
Ion Boulkaniov haranguant la foule: "un peuple qui résiste est un peuple qui ne meurt pas !"
La même hystérie nationaliste régnait partout, dans les villes et dans les campagnes, dans les usines et dans les palais, chez tous les partis politiques, même chez les Merksistes internationalistes. On exaltait les temps bénis où la Valachie et la Transylvanie étaient deux principautés certes ennemies, mais surtout libres.
Une auto-mitrailleuse de l'Armée Républicaine. Sur son flanc est écrit "GBObODA!", ce qui, en valaque, signifie à peu près: "Va te faire mettre, Charles III !"
Conséquence de ce raz-de-marée patriotique, les responsables de l'Armée Transvalaque pouvaient espérer aligner le nombre inespéré de 100. 000 hommes d'ici un mois. Mais le véritable défi était de pouvoir les former et les équiper avant que les armées edoranaises n'aient atteint le cœur du pays...
Des volontaires transylvains réclamant des fusils: "On veut tuer des gens !"
Ion Boulkaniov haranguant la foule: "un peuple qui résiste est un peuple qui ne meurt pas !"
La même hystérie nationaliste régnait partout, dans les villes et dans les campagnes, dans les usines et dans les palais, chez tous les partis politiques, même chez les Merksistes internationalistes. On exaltait les temps bénis où la Valachie et la Transylvanie étaient deux principautés certes ennemies, mais surtout libres.
Une auto-mitrailleuse de l'Armée Républicaine. Sur son flanc est écrit "GBObODA!", ce qui, en valaque, signifie à peu près: "Va te faire mettre, Charles III !"
Conséquence de ce raz-de-marée patriotique, les responsables de l'Armée Transvalaque pouvaient espérer aligner le nombre inespéré de 100. 000 hommes d'ici un mois. Mais le véritable défi était de pouvoir les former et les équiper avant que les armées edoranaises n'aient atteint le cœur du pays...
Des volontaires transylvains réclamant des fusils: "On veut tuer des gens !"
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