- Noordzeestad Dagblad
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Localisation : Noordzeestad, République de Noordzeeland
Date d'inscription : 06/04/2011
[Micromonde] Charles III joue à la guerre
Dim 12 Juin 2011 - 23:09
Il est des choses dans le Micromonde qui ne sont pas contestables, même pour les esprits les plus chagrins. Par exemple, la Russlavie est et sera toujours un territoire de misère car dirigé par une noblesse corrompue et inculte (et probablement consanguine à un point insoupçonné). Cet article se penchera aujourd'hui sur une de ces vérités, j'ai nommé l'Armée Impériale d'Edoran.
L'armée Impériale d'Edoran... voilà une chose qui ne fait pas rire dans les chaumières du nord-micromonde (à l'inverse de l'étherisme qui n'est qu'une grosse marade et sur laquelle on se poile de Svetivostok à De Moeren). L'armée edoranaise, c'est ce qu'il se fait de mieux dans le genre, et dans le coin, à l'heure actuelle. Cinq jours, à peine, seraient nécessaires aux troupes de Charles III pour tous nous mettre à la mer, les deux jours restant leur permettraient de visiter notre belle capitale, libérée de ses turbulents autochtones. Heureusement pour nous, la mer nous sépare des terribles armées edoranaises et sur l'eau, la victoire serait loin d'être acquise pour cet empire glouton.
Comme ses prédécesseurs, Charles III à une sainte horreur de la monotonie et il aime étaler sa puissance. Aussi, certain de l'invincibilité de son armée, il a décidé d'envoyer ses bidasses croquer du transvalachien. Avions, blindés et autres joyeusetés s'égaillèrent donc dans la verte campagne de Transvalachie. "En une semaine, l'affaire sera pliée", au quartier générale de l'armée impériale on en était certain, il ne faudrait qu'une poignée de jours pour mettre au pas "le tas de bouseux qui peuple la Transvalachie". Hors, les jours s'éloignent et la victoire éclair s'éloigne peu à peu.
L'armée edoranaise serait-elle tombée sur un os ? Un en effet... deux plutôt... non trois... tout un tas d'os en fait.
Malgré tout son coté sympathique et romanesque, l'armée transvalachienne paye au prix fort son amateurisme, apprenant dans le sang, la dure leçon de la guerre moderne. Il n'empêche, de 7 à 77 ans on se tient prêt du coté transvalaque à bouter l'edoranais et à moins de tuer chaque habitant du territoire, on voit mal comment l'armée impériale pourra se tirer de ce bourbier la tête haute et l'honneur immaculé.
Dans le même temps, loi des séries ou effet de mimétisme, l'armée moldavienne vient de se soulever et de renverser son souverain en n'usant quasiment pas de violence (ce qui reste remarquable pour des soldats). Charles III a tapé du poing sur la table et à promit la déchéance aux mutins qui eux, de leur coté, on décidé en guise de réponse, de faire sauter tout ce que le pays compte en voies ferrées. Voilà qui risque d'être problématique pour l'approvisionnement d'une grande partie des troupes qui bataille en Transvalachie...
L'Empereur pourrait négocier avec les rebelles mais cela serait alors une terrible humiliation pour sa personne sans compter le fâcheux précédent que cela pourrait créer. En effet, il ne faudrait pas quelques mois pour que situation identique se reproduise en Palogne, en Tchétchoslovénie ou ailleurs, entraînant tout l'empire dans une spirale infernale.
Enfin, il y a les colonies. Impérialement oublié, ce lointain territoire est passé de "stable" à "en péril". Les peuples aborigènes auraient semble-t-il laissé de coté leurs rivalités ancestrales et marcheraient sur les grandes cités edoranaises, brûlant au passage comptoirs et villages coloniaux.
L'armée edoranaise à beau être puissante et ses généraux doués, il n'empêche qu'elle est engagée sur trois théâtres d'actions et que ses réserves ne sont ni éternelles ni infinies. Par ailleurs, le contexte politique est très agité en Edoran, ce qui n'est pas un gage de confiance pour qui se bat à des centaines de kilomètres de chez lui ou par delà l'océan. Ce qui est sur, c'est que l'empire c'est lancé dans une entreprise bien hasardeuse qui pourrait bien se retourner contre lui.
L'armée Impériale d'Edoran... voilà une chose qui ne fait pas rire dans les chaumières du nord-micromonde (à l'inverse de l'étherisme qui n'est qu'une grosse marade et sur laquelle on se poile de Svetivostok à De Moeren). L'armée edoranaise, c'est ce qu'il se fait de mieux dans le genre, et dans le coin, à l'heure actuelle. Cinq jours, à peine, seraient nécessaires aux troupes de Charles III pour tous nous mettre à la mer, les deux jours restant leur permettraient de visiter notre belle capitale, libérée de ses turbulents autochtones. Heureusement pour nous, la mer nous sépare des terribles armées edoranaises et sur l'eau, la victoire serait loin d'être acquise pour cet empire glouton.
Comme ses prédécesseurs, Charles III à une sainte horreur de la monotonie et il aime étaler sa puissance. Aussi, certain de l'invincibilité de son armée, il a décidé d'envoyer ses bidasses croquer du transvalachien. Avions, blindés et autres joyeusetés s'égaillèrent donc dans la verte campagne de Transvalachie. "En une semaine, l'affaire sera pliée", au quartier générale de l'armée impériale on en était certain, il ne faudrait qu'une poignée de jours pour mettre au pas "le tas de bouseux qui peuple la Transvalachie". Hors, les jours s'éloignent et la victoire éclair s'éloigne peu à peu.
L'armée edoranaise serait-elle tombée sur un os ? Un en effet... deux plutôt... non trois... tout un tas d'os en fait.
Malgré tout son coté sympathique et romanesque, l'armée transvalachienne paye au prix fort son amateurisme, apprenant dans le sang, la dure leçon de la guerre moderne. Il n'empêche, de 7 à 77 ans on se tient prêt du coté transvalaque à bouter l'edoranais et à moins de tuer chaque habitant du territoire, on voit mal comment l'armée impériale pourra se tirer de ce bourbier la tête haute et l'honneur immaculé.
Dans le même temps, loi des séries ou effet de mimétisme, l'armée moldavienne vient de se soulever et de renverser son souverain en n'usant quasiment pas de violence (ce qui reste remarquable pour des soldats). Charles III a tapé du poing sur la table et à promit la déchéance aux mutins qui eux, de leur coté, on décidé en guise de réponse, de faire sauter tout ce que le pays compte en voies ferrées. Voilà qui risque d'être problématique pour l'approvisionnement d'une grande partie des troupes qui bataille en Transvalachie...
L'Empereur pourrait négocier avec les rebelles mais cela serait alors une terrible humiliation pour sa personne sans compter le fâcheux précédent que cela pourrait créer. En effet, il ne faudrait pas quelques mois pour que situation identique se reproduise en Palogne, en Tchétchoslovénie ou ailleurs, entraînant tout l'empire dans une spirale infernale.
Enfin, il y a les colonies. Impérialement oublié, ce lointain territoire est passé de "stable" à "en péril". Les peuples aborigènes auraient semble-t-il laissé de coté leurs rivalités ancestrales et marcheraient sur les grandes cités edoranaises, brûlant au passage comptoirs et villages coloniaux.
L'armée edoranaise à beau être puissante et ses généraux doués, il n'empêche qu'elle est engagée sur trois théâtres d'actions et que ses réserves ne sont ni éternelles ni infinies. Par ailleurs, le contexte politique est très agité en Edoran, ce qui n'est pas un gage de confiance pour qui se bat à des centaines de kilomètres de chez lui ou par delà l'océan. Ce qui est sur, c'est que l'empire c'est lancé dans une entreprise bien hasardeuse qui pourrait bien se retourner contre lui.
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