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Roman Modzalevski- Nombre de messages : 32
Localisation : Gornograd, batiments de l'Amirauté
Date d'inscription : 22/08/2007
Entrevue politique
Mer 2 Jan 2008 - 10:57
Roman Sekandrovitch ne tarda pas à recevoir une réponse:
Le lieutenant arriva un peu en retard à la Cathédrale. Il trouva son interlocuteur agenouillé aux premiers rangs, en train de psalmodier une prière. Roman se signa, puis attendit patiemment que Kouzmitch finisse.
Celui-ci se retourna et se dirigea vers Roman, qu'il bénit d'un signe de croix ostentatoire.
"Soyez béni, mon fils. Je vois en vous un bon croyant et un défenseur de la patrie."
- Certes, euh, oui. Mbrrm, bien, voila, le président de notre parti, l'éminent Duc de Dunav m'envoit auprès de vous, afin de voir si un rapprochement serait possible. Nous aurons en effet besoin de toutes les voix possibles pour remettre la Russlavie dans le droit chemin.
- Mon fils, Qui sommes nous devant la Volonté de Dieu ! Moi et les miens ne sommes pas contre une fusion de nos deux partis, mais pour cela vous devez vous engagez à ne plus traiter avec les libéraux, ces infects ploutocrates apatrides qui agissent de concert avec les bolcheviks.
- Mais, mon père, je ne demande pas mieux, mais comment dans ce cas former un gouvernement ? Il semble que notre parti n'aura pas la majorité absolue, et mieux vaut voir les libéraux de notre côté que alliés aux merksistes.
-Peuh, tout cela n'a aucune importance. Qu'est il besoin de Douma, de votes et de Constitution, quand tout ce que le peuple désire, c'est sentir la main juste et sévère du Tsar sur sa nuque ?
Vos jeux éléctoraux ne m'intéressent pas: Soulevons le peuple en faveur du Tsar, utilisons l'armée, qui je crois suivrait ses officiers partout, annulons les élections, proclamons l'état d'urgence, replaçons Nicolas Ier sur le trône, supprimons la Constitution, instaurons un parti unique et fusillons les rouges. .... C'est la volonté de Dieu !!!
- Bien, mon père, je dois partir. Nous en reparlerons, n'ayez crainte ! Vos idées sont intéréssantes, mais je doute qu'elles soient applicables à l'heure actuelle. "
Comte Lieutenant,
Je ne suis pas opposé à une rencontre: je pense que D&J est le moins corrompu des partis, et votre amour du tsarisme et de Dieu vous fait honneur. Rendez-vous à la Cathédrale de Murasibirsk, le 2 janvier, à 10h.
Mgr Kouzmitch, humble esclave de Dieu et modeste serviteur du Tsar
Le lieutenant arriva un peu en retard à la Cathédrale. Il trouva son interlocuteur agenouillé aux premiers rangs, en train de psalmodier une prière. Roman se signa, puis attendit patiemment que Kouzmitch finisse.
Celui-ci se retourna et se dirigea vers Roman, qu'il bénit d'un signe de croix ostentatoire.
"Soyez béni, mon fils. Je vois en vous un bon croyant et un défenseur de la patrie."
- Certes, euh, oui. Mbrrm, bien, voila, le président de notre parti, l'éminent Duc de Dunav m'envoit auprès de vous, afin de voir si un rapprochement serait possible. Nous aurons en effet besoin de toutes les voix possibles pour remettre la Russlavie dans le droit chemin.
- Mon fils, Qui sommes nous devant la Volonté de Dieu ! Moi et les miens ne sommes pas contre une fusion de nos deux partis, mais pour cela vous devez vous engagez à ne plus traiter avec les libéraux, ces infects ploutocrates apatrides qui agissent de concert avec les bolcheviks.
- Mais, mon père, je ne demande pas mieux, mais comment dans ce cas former un gouvernement ? Il semble que notre parti n'aura pas la majorité absolue, et mieux vaut voir les libéraux de notre côté que alliés aux merksistes.
-Peuh, tout cela n'a aucune importance. Qu'est il besoin de Douma, de votes et de Constitution, quand tout ce que le peuple désire, c'est sentir la main juste et sévère du Tsar sur sa nuque ?
Vos jeux éléctoraux ne m'intéressent pas: Soulevons le peuple en faveur du Tsar, utilisons l'armée, qui je crois suivrait ses officiers partout, annulons les élections, proclamons l'état d'urgence, replaçons Nicolas Ier sur le trône, supprimons la Constitution, instaurons un parti unique et fusillons les rouges. .... C'est la volonté de Dieu !!!
- Bien, mon père, je dois partir. Nous en reparlerons, n'ayez crainte ! Vos idées sont intéréssantes, mais je doute qu'elles soient applicables à l'heure actuelle. "
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