- Ludwik N. Livadski
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Date d'inscription : 09/05/2011
Forces loyalistes de Transvalachie
Mer 15 Juin 2011 - 19:36
Les loyalistes de Transvalachie s'opposait à l'indépendance et à la République de Pojarski, marquée du sceau de l'infâmie. Ils n'étaient pas de fervent partisan de l'autocratie Tsariste. Il voyait cependant dans les prétentions de la nouvelle république socialiste et populaire de Transvalachie, la porte ouverte au markisme. Elles s'y refusaient, de même qu'elles s'opposaient aux exactions des troupes du Boucher. L'indépendance était une voie dangereuse. Bien sûr on était Valaque ou Transylvanien, mais attaché au Tsar comme souverain. Il y avait dans leur rang des Kadets opposé à l'action de Boulkhaniov, qui soutenaient la légalité, se revendiquant opposition du Tsar et non opposé au Tsar. Leur fidélité allait à la Couronne de Russlavie qu'il souhaitait voir transformé un jour en monarchie constitutionnelle et à l'initiative d'un commonwealth des Nations. Il y avait aussi des nobles et des fonctionnaires transvalaques qui vivaient des rentes du gouvernement de Murasibirsk, des colons russlaves, et la clientèles de tout ce petit monde, qui suivait non par conviction mais par fidélité à un personnage, et même une minorité d'indépendantistes. Tous étaient unis par l'antimarkisme et l'oppositon farouche aux rouges.
Les fortes têtes étaient nombreuses, si bien que le mouvement n'avait jamais été organisé. De ça et là des bandes luttant par les armes, ou des politiques luttant par le verbe. L'arrivée du Prince Klausburgsky rassembla ce monde, autour d'un chef, et quel chef ! Altesse Impériale et Royale, dont la famille était bien en cour auprès du Tsar, voilà un personnage qui avait assez d'autorité pour se revendiquer du Tsar et assez de légitimité pour commander aux loyalistes. Sa qualité de membre de la dynastie régnante en Edoran et sa parenté ferait de lui certainement un homme de premier plan pour négocier la paix et le pardon du Tsar.
Les forces armées se rassemblèrent en une armée dénommée : Armée Nationale de Transvalachie ; Nationale car opposé à l'Internationalisme markiste. Son Gouvernement se proclama Régence de Transvalachie. Elles établirent leurs instances représentatives dans le Gubyierna de Gornograd. La première bataille de l'Armée Nationale de Transvalachie serait celle de Sibou...
Les fortes têtes étaient nombreuses, si bien que le mouvement n'avait jamais été organisé. De ça et là des bandes luttant par les armes, ou des politiques luttant par le verbe. L'arrivée du Prince Klausburgsky rassembla ce monde, autour d'un chef, et quel chef ! Altesse Impériale et Royale, dont la famille était bien en cour auprès du Tsar, voilà un personnage qui avait assez d'autorité pour se revendiquer du Tsar et assez de légitimité pour commander aux loyalistes. Sa qualité de membre de la dynastie régnante en Edoran et sa parenté ferait de lui certainement un homme de premier plan pour négocier la paix et le pardon du Tsar.
Les forces armées se rassemblèrent en une armée dénommée : Armée Nationale de Transvalachie ; Nationale car opposé à l'Internationalisme markiste. Son Gouvernement se proclama Régence de Transvalachie. Elles établirent leurs instances représentatives dans le Gubyierna de Gornograd. La première bataille de l'Armée Nationale de Transvalachie serait celle de Sibou...
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