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Evgueni Korpanov
Evgueni Korpanov
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Localisation : Novolensk
Date d'inscription : 07/12/2018

Congrès fondateur du PTR Empty Congrès fondateur du PTR

Mar 1 Jan 2019 - 3:50
Les camarades de l’AIT s’affairaient au Palais des Congrès de Novolensk depuis deux jours pour la mise en place du congrès du PTR. La salle était prévue pour accueillir près de trois mille personnes et les camarades avaient battus le pavé dans toutes les villes et campagnes du pays pour rabattre le maximum de congressistes. Les anciens meneurs de la gauche russalve, qui n’avaient pas périt dans « l’accident » de Tobolsk car absent, avaient aussi fait le déplacement et réuni de jeunes nouveaux auprès d’eux pour le voyages.

Tout était fin prêt et Evgueni Korpanov, qui avait le matin même tenu un discours devant le usines Mossine-Nagant, finalisait son discours d’ouverture du congrès. La salle se remplissait gentiment et les congressistes prenaient lentement place, pour certain c’était la première fois qu’ils sortaient de leur campagne et ils avaient pris le temps d’admirer la belle ville de Novolensk. Pour d’autres, ils étaient plus rares, c’était le moment des retrouvailles et de raviver le souvenir des luttes passées.

Le congrès devait débuter à treize heure et, le temps que tout le monde fût installé, Evgueni pris la parole avec une demi-heure de retard sur le programme.


Mes chers Camarades, j’ai l’immense honneur et le grand privilège de m’exprimer devant vous aujourd’hui.

Nous avons l’occasion d’ouvrir une nouvelle page dans la longue histoire du mouvement ouvrier par la création de ce grand parti qui sera le nôtre !

Depuis trop longtemps le prolétariat n’est plus représenté dans notre pays et c’est un affront à sa dignité.

L’unité de la classe ouvrière est notre but premier afin d’appuyer, politiquement, ses légitimes revendications à être enfin reconnu et à bénéficier d’une vie digne !

Chers Camarades, ce congrès à la tâche importante d’unir les forces de la gauche russlave en une grande maison apte à représenter et à défendre notre idéologie. Je gage que nous ne faillirons pas à notre mission.

Je tâcherais d’être bref mais vous connaissez tous les attentes et les aspirations de classe, ce congrès accouchera d’une organisation solide et représentative de nos courants. Le principe même de notre parti sera démocratique et progressiste. Tout le monde aura le droit de se faire entendre. Nous serons être un parti de masse et non pas un parti d’élite, l’encrage local, au plus près de nos camarades, sera notre force et fera vivre notre parti.

Je ne doute pas de votre volonté de bâtir un avenir meilleur pour nous tous et je vous souhaite un excellent congrès.

Une fois le discours d’introduction terminé, l’ordre du jour du congrès devait se dérouler normalement. En tant que doyen de l’assemblée, le camarade Dibatchev   présidera la séance.

Le premier point était l’adoption du règlement du congrès qui stipulait comment voter, comment se dérouleraient les élections et comment s’effectueraient les prises de parole. Celui-ci fût adopté sans discussion, à l’unanimité des participants.

Le deuxième point, qui mènerait à plus de discussion concernait l’adoption des statuts du nouveau parti. Quelques orateurs étaient annoncés après que les congressistes eurent pris connaissance du projet. Ce texte avait été rédigé par une dizaine de personne dont Evgueni Korpanov et il soulevait quelques réticences de part et d’autre de la salle.

Un camarade dénonça la structure décentralisée du parti et notamment l’autonomie des sections et des fédérations provinciale en ce qui concernait la politique locale. Selon lui seul les décisions centrales devaient faire foi et celles-ci devaient être appliquées quoi qu’il en soit. Les ordres devaient venir d’en haut.

Un autre attaqua le nom du parti, mais il ne ferait pas l’unanimité loin de là, sa proposition était que le parti se nomma Parti Merksiste-Luniniste, en tant qu’héritier de l’ancien parti de gauche.

Un autre encore demande que le congrès fût seul à prendre les décisions et que le comité ne soit que chargé de les appliquer, sans pouvoir de décision entre deux réunion.

D’autres critiques, plutôt constructive, touchaient à des points moins polémiques de l’organisation.

A la fin de ces prises de parole, Evgueni s’avance à la tribune pour répondre à ces préopinants :


Je vais regrouper les réponses à vos interventions et le faire en une fois. J’ai entendu que la structure fédéraliste de notre parti ne serait pas adaptée à notre action. Laissez-moi vous dire, Camarade, que si nous voulons être au plus près de nos adhérents, c’est par des structures telle que celle-ci que nous y arriverons le mieux. Un parti de masse, pas un parti d’élite, voici le maître mot !

Pour ce qui est du centralisme et de la direction du haut vers le bas, nous savons tous que les réalités du terrain sont différentes d’une localité à l’autre ou d’une province à l’autre. Un minimum d’autonomie est donc nécessaire afin de mener la politique la plus proche du peuple dans les provinces ! Quant au pouvoir, les orientations doivent être données par la base, assemblée en congrès, et respectée par tous, y compris les fédérations et les sections. Ces entités sont autonomes c’est une chose, mais dans les limites des décisions du congrès et de la direction !

Un murmure parcouru la salle et quelques délégués se levèrent pour quitter le congrès.

Camarades, ne partez pas ! Nous ne pouvons pas repartir sur les mêmes bases que les partis du passés. La démocratie interne est capitale, car nous ne pouvons pas décemment défendre la démocratie pour notre nation et faire l’exact inverse dans notre parti. Il y a là une question de cohérence camarades !

Et j’en viens aux bases du passé ! Non le parti ne portera pas le nom de Merksiste-Luniniste ! Comment pouvons-nous construire l’unité nouvelle sur un nom qui a tant fait peur et qui fait encore tant peur jusqu’à nos camarades ouvriers ! Non, non et non, Camarades ! Il n’est pas question de fossoyer nos chances sur des querelles de nom. Celui qui vous est proposé est clair, sans concession et surtout sans effrayer personne ! Le Parti des Travailleurs de Russlavie voilà notre nom, voilà notre avenir !

J’en viens enfin au retrait de tous pouvoirs au comité directeur. Le congrès définis les orientations générales de notre parti, son programme et la manière dont le parti le mettra en œuvre, mais au vu de la composition de celui-ci. Qui pourrait concerner près de trois mille personnes, il est impensable de le réunir à intervalle trop grand ! Chaque année, le congrès se réunira. Mais entre deux, il est impératif de laisser à la direction la possibilité de prendre les décisions que les événements nécessitent. Les orientations sont données pas le congrès, la direction doit les appliquer, mais dans le cas où elle doit prendre des décisions contraire à la volonté du congrès, celui-ci pourra la désavouer et revenir sur celles-ci. D’autant que la mode d’élection, proportionnel, permet à toutes les tendances exprimées au congrès d’être représentée au sein de la direction.

Camarades, je vous l’assure, ce que nous vous proposons aujourd’hui reste un exemple de démocratie et garanti des bases solide à notre mouvement !

Après ces interventions, le congrès se prononça par 2890 voix contre 320 pour le projet de statuts soumis au vote.

Le point trois de l’ordre du jour prévoyait l’élection de la nouvelle direction. Le comité central (CC) était composé de 50 membres et le bureau exécutif (BE) de 15 membres. Le comité central chargé de la direction générale du parti entre les congrès devait se réunir une fois chaque trimestres, tandis que le bureau exécutif, chargé de la direction opérationnelle et surtout de prendre les décisions les plus importantes entre les congrès, devait au moins se voir une fois par mois.

Trois propositions de liste étaient arrivées. La première menée par Evgueni Korpanov représentait cette nouvelle génération et les instigateurs du nouveau parti. Le but était de conquérir le pouvoir par des moyens légaux et d’installer durablement de législation sociale par la conquête de celui-ci. Ils n’excluaient pas les mesures comme les grèves et les manifestations, mais seulement en dernier recours. Leur ligne était également claire quant à la participation du parti au gouvernement. Aucune participation aux gouvernements bourgeois, seul un gouvernement majoritaire du Parti serait acceptable et accepté.

La deuxième liste emmenée par les vieux merksistes, faisait l’apologie de la révolution et de la conquête du pouvoir par tous les moyens. Seule la prise de pouvoir par la rue et par les travailleurs serait à même de changer les conditions de la classe ouvrière. Ils acceptaient cependant la participation à la démocratie parlementaire, mais excluait toute participation gouvernementale.

Enfin, la troisièmes liste, qui représentait la « droite » du parti, préconisait la prise du pouvoir pacifique également, mais ne rejetait la participation à des gouvernements de coalition avec des partis bourgeois. En effet, ils considéraient qu’une telle participation pourrait tout de même laisser envisager une amélioration substantielle des conditions des prolétaires.

Les présentations et argumentations terminées, le congrès passa au vote. Après dépouillement des résultats. La première liste obtient 30 sièges au CC et 8 au BE, la deuxième liste 5 au CC et 1 au BE et la troisième liste 15 au CC et 4 au BE.

Après cela le secrétaire général du parti devait être désigné parmi les membres du CC et, sans aucune surprise, ce fut le Camarade Korpanov qui fût élu par 2350 contre 860.

Evgueni prenait donc en main les destinées de ce nouveau mouvement et adressa un court discours à l’assemblée pour les remercier de la confiance accordée, refaire l’éloge du mouvement ouvrier et assurer de l’unité du parti et du respect des tendances exprimées par chacun lors des précédents votes.

Après cette longue première partie de congrès, il était presque vingt et une heure, le doyen d’âge décida de clôturer la journée et rappela les congressistes à se réunir le lendemain matin à neuf heure dans la même salle, pour la poursuite de l’ordre du jour.
Evgueni Korpanov
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Congrès fondateur du PTR Empty Re: Congrès fondateur du PTR

Sam 5 Jan 2019 - 23:14
La nuit fut courte pour le nouveau bureau exécutif qui plancha sur la suite de l’ordre du jour et notamment sur la suite à donner aux candidatures pour les élections à la Douma qui auraient lieu le 3 janvier, ainsi que le programme que le Parti devait se donner.

Le lendemain matin, à dix heures, les délégués étaient à nouveau réuni dans le palais des congrès. Le nouveau secrétaire général accueilli les congressistes par quelques parole d’encouragement suites aux décisions de la veille et repris le déroulement de l’ordre du jour.


Camarades ! Au terme d’une longue nuit de travail, nous avons pu nous mettre d’accord, au sein du Bureau, d’une série de revendication que nous proposerons à la population comme programme politique pour ces prochaines élections. Le congrès restant souverain, c’est à vous qu’il revient d’accepter, de refuser ou d’amender la proposition qui vous est faite. Il va sans dire que c’est également ce que nous défendrons à la Douma face aux représentants des partis bourgeois, et qu’en cas de victoire et de la formation d’un gouvernement à majorité socialiste, c’est ce que nous tâcherons de mettre en œuvre.

Voici donc ce que nous vous soumettons :

Programme du Parti des Travailleurs de Russalvie – P.T.R.

Droits fondamentaux – Institutions

- Démocratie à tous les échelons ;
- Égalité de tous devant la loi ;
- Droit syndical reconnu et respecté ;
- Abolition du crime politique et de la peine de mort ;
- Droit de vote des femmes.

Économie  – Affaires sociales

- Nationalisation des entreprises d’armement, de chemin de fer, de télégraphe, de la radiodiffusion, des banques et des assurances ;
- Création d’un code du travail, prévoyant notamment la journée de travail de 8 heures et la protection de la santé au travail ;
- Création d’assurances sociales pour les cas d’accident, de maladie, de chômage, ainsi que pour la retraite ;
- Taxation de la fortune et des revenus du capital ;
- Redistribution de la terre aux paysans ;
- Socialisation des moyens de production.

Police – Armée – Justice

- Abolition de la police politique ;
- Création d’une armée populaire ;
- Accès pour tous aux emplois militaires et policiers ;
- Accès et égalité de tous à la justice ainsi qu’aux emplois judiciaires.

Éducation – Santé

- Création d’un système de santé accessible à tous ;
- Construction d’hôpitaux et d’institutions sanitaires ;
- Écoles obligatoires et gratuites ;
- Accès à l’université sans distinction de classe.

La lecture de ces points laissait certain ancien assez rêveurs, même si pour eux le programme n’allait pas assez loin. Ils savaient également que la réalisation de ce programme serait impossible, à moins d’une victoire hautement improbable lors des élections à la Douma. La discussion s’ouvrit donc et dura près de deux heures et porta sur tous les sujets possibles lors de telles discussions.

Il fût ajouté à la liste des revendications le contrôle de la production et de la vente du blé, matière indispensable dans l’économie rurale russlave. Au chapitre des nationalisations ont voulu également ajouter l’extraction des matières premières. Finalement, on modifia le terme « socialisation des moyens de production » par mise en place progressive d’une économie socialiste.

Dans la discussion générale il fut fait mention, notamment par le secrétaire général, ainsi que par certains congressistes, de la nécessité d’avoir un programme qui permet à nos idéaux d’être réalisés et qui n’effrayerait pas trop la bourgeoisie afin que, dans le cas éventuel ou l’on serait appelé aux affaires, il n’y ait pas de « coup d’état »

Les plus révolutionnaires n’étaient pas de cet avis, le programme devait être le plus à gauche possible et dans le cas où l’on nous refuserait nos droits légitimes il serait du devoir de la classe ouvrière de prendre les devants sur les institutions. Le chef de file de cette frange du Parti déclara qu’il s’abstiendrait de voter.
« Le programme est socialiste mais pas assez, il ne mérite donc pas notre soutien mais nous n’empêcherons pas son application. »

Au final et après les modifications issues de la discussion générale, le programme proposé fût accepté par 1'965 contre 965 et 280 abstentions. Après les résultats du vote, la séance fut suspendue pour que les délégués puissent se restaurer. La séance repris à quatorze heures.

Le dernier point à l’ordre du jour qui devait être soulevé concernait les candidatures aux élections législatives. La stratégie qui devait prévaloir ne laissait aucun doute et son acceptation se fit sans surprise à l’unanimité des 3'210 personnes présentes. Chaque siège serait attaqué et donc 100 candidats seraient présentés aux suffrages populaires. Aucune circonscription ne devait ignorer la lumière socialiste.

Evgueni Korpanov, particulièrement satisfait du déroulement du congrès et qui malgré quelques désaccord accouchait d’une nouvelle force politique à la gauche de l’échiquier russlave, pris la parole pour clôturer ce congrès.


Camarades ! Comme je l’ai indiqué hier, ces deux jours feront date dans l’histoire des forces du progrès dans ce pays ! Nous voici au-devant d’une extraordinaire aventure dont nous ferons tout notre possible pour qu’elle soit couronnée de succès. Tout le pays s’exprimera dans quelques jours et pourra, librement, choisir entre les forces du progrès ou les forces de la réaction ! Nous démontrons par nos deux jours de travaux, que nous sommes prêts à opposer un front unis aux représentants de la bourgeoisie ! Nous avons l’immense privilège de représenter la classe ouvrière, de représenter le prolétariat russlave. Camarades ! La confiance que vous nous donnez ne sera pas trahie !

Notre lutte est celle de la justice, de la liberté et du socialisme, nous n’abandonnerons pas nos frères !

Le Parti devra grandir et il grandira avec nous. Avec lui grandira la classe ouvrière. Il fera ses armes et permettra à nous tous d’apprendre à nos frères l’importance de la lutte. Notre unité sera notre force ! Prolétaire de tout le pays : Unissez-vous !
J’aimerais tous vous remercier pour le labeur fournis lors de ce congrès et, par avance, pour le travail que vous fournirais encore à l’avenir. La présence d’un si grand nombre de camarade montre que notre cause et juste. Bon retour dans vos foyers respectifs et surtout n’oubliez pas de propager notre idéal partout dans cette nation !

La salle applaudi le discours du secrétaire général et entonna, spontanément, un vieux chant révolutionnaire. Dans les paroles il était notamment question d’une lutte finale et du genre humain.

Finalement, le congrès se sépara et dès le lendemain le programme du PTR fleuri sur les murs de la plupart des villes et des villages du pays. Une invitation était faite à soutenir les candidats PTR lors des élections législative et à rejoindre ce grand parti qui voulait réunir la classe ouvrière et paysanne.
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